Tout est parti d’un devoir d’école. Sa fille Elena devait parler d’origami, et en la regardant plier le papier, KiKo a vu naître une idée.

Ce pli, ce silence, cette précision : il y a dans l’origami quelque chose de l’enfance qu’on ne froisse pas.
De là est née une collection où ses Mômes deviennent des sculptures de tendresse, fragiles mais debout.

Puis les chapkas sont venues. Comme un souvenir d’hiver, de chaleur protectrice, de regards perdus dans la neige ou dans les rêves.
Elles coiffent les enfants comme des pensées qui réchauffent le cœur.
Dans cette série, chaque tableau est un pli de vie, un souvenir, une émotion à nu.

L’enfance y est douce, pudique, mais elle ne s’excuse jamais d’exister.